L'absence
de recrutement dans le public est une constante.
La
quasi totalité des diplômés se tournent malgré eux vers un
secteur privé, dont ils connaissent mal les difficultés.
Ils
s'installent surtout dans les endroits où le pouvoir d'achat est plus
élevé pour payer le plus rapidement possible leurs dettes.
Malheureusement
cet afflux a entraîné la multiplication de cabinets à chaque coin
de rue.
Et
les revenus ont commencé à dégringoler (pour les jeunes en
particulier).
Du coup, la qualité des traitements a baissée.
Du coup, la qualité des traitements a baissée.
Un
praticien qui gère la précarité ne peut investir dans les
technologies nouvelles souvent coûteuses.
Une meilleure répartition est elle nécessaire?
Si
oui quelles garanties de transparence, d'équité et de liberté?
Pour
trancher ces questions, une commission nationale sera chargée
d'établir un programme de sauvetage de la libre pratique.
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