jeudi 27 mars 2014

Dentisterie au rabais : C’est nous les premiers responsables

   Dans un passé récent, le médecin dentiste avait peu de soucis matériels dans son exercice et l'élève qui choisissait des études en dentaire était assuré plus tard de vivre dans le confort. Mais les choses changent vite.
   Une démographie galopante, un pouvoir d'achat qui baisse, des charges qui s’alourdissent, des illégaux exerçant en toute impunité et des caisses ne remboursant que le minimum.
   Très vite une baisse constante de notre activité s’est fait sentir. Et pour compenser ce manque à gagner, il a fallu augmenter nos honoraires.
   Pourtant certains d'entre nous, et face à des difficultés passagères, se sont mis au contraire à baisser leurs honoraires, dans l'espoir d'avoir plus de patientèle.
   Et vu le nombre actuel de médecins dentistes, jouer sur la quantité mène droit au mur. Il ne faut pas s’étonner alors d’avoir des fins de mois difficiles.
   Certes, beaucoup de choses peuvent changer notre situation, mais on ne peut s’en prendre qu’à nous même car nous sommes les premiers responsables de la régression de la médecine dentaire.

   Au lieu de jeter la responsabilité sur le confrère, le patient, la CNAM, les prothésistes…., il faut qu’on s’oblige à respecter le barème d’honoraires minimum principal garant de revenus en rapport avec les obligations et les devoirs sanitaires qui pèsent sur nous.

1 commentaire:

  1. Bonjour'
    En premier lieus j'aimerai vous remercier pour votre blog, en suite j'aimerai repondre a votre essage en vous disant que je trouve que vous avez donner la une explication asse simpliste du probleme en effet e jeune edecin dentiste se trouve une fois diplome seul seul face a ses reves utopics sans aucune idee dde la realite de notre secteur, il se jette alors dans les bras de comerciaux qui le pousse sans scrupule au surendettement.... une fois avec des charges fixes qui varies entre 1200 et 1500 dt par mois entre assistante, location du local et la banque le jeune practitien se trouve tres s rapidement dos au mure il n'a alors nule autre choix que baisser le prix de ses honoraire pour couvrir ses charges et reussire a se faire une place dans un secteur qui ne manque pas de ''concurance ''. Mais au final C'est lui le seul perdant.. donc je trouve qu'en premier lieux la solution reside dans la reconsiliation avec nos conpere qui pourrai nous aider eviter des erreure qui ne peuvent etre que nefaste a tout notre cops de metier et je croie qu'en cela le conseil de l'ordre des medecins dentiste a bcp a faire
    Respectueusement un jeune confrere
    Ps desole pour les fautes les tablettes ne sont pas si pratique que ça

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