lundi 24 mars 2014

L’exercice illégal est-t-il une fatalité ?


     C’est un problème complexe auquel on peut difficilement faire face individuellement.
    Ordre et syndicat doivent prendre leurs responsabilités et travailler de pair avec tous les intervenants.
    Le citoyen, premier concerné, doit être sensibilisé. 
    Un taux de remboursement plus élevé et un déplafonnement des actes de prothèses pourra dissuader nos patients d’avoir recours aux prothésistes pour des raisons matérielles.
    En tout état de cause, il faut veiller à l’application de la loi et celle-ci est encore plus sévère chez nous que dans la plupart des pays européen.
    Par ailleurs, il faut amener le ministère de l’emploi à intervenir auprès des écoles étatiques et privées de prothèse dentaire, suite aux multiples dérives enregistrées, pour contrôler le cursus et le programme de formation des futurs prothésistes.
   Enfin, une commission doit être opérationnelle pour gérer :
  1. -         les modalités pratiques pour prendre en défaut les prothésistes fraudeurs ;
  2. -         le suivi des plaintes devant la justice.






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